Nous reproduisons ci-dessous, la réponse de Bruno Gollnisch à un internaute lui exposant la semaine dernière les raisons pour lesquelles il ne signera pas une pétition de l’UNI en faveur de M. Claude Guéant. Ce dernier est poursuivi par le MRAP, SOS Racisme, etc., pour avoir évoqué, à propos des Musulmans, certains problèmes liés en fait à l’immigration massive et incontrôlée que connaît la France et qui n’a jamais cessé, en dépit des promesses contraires.
« Il n’y a aucune raison pour que les Ministres (Hortefeux, Guéant, etc.) ou les députés de la majorité actuelle échappent aux poursuites qui frappent les simples citoyens ! A commencer par les hommes politiques d’opposition (je suis moi-même sous le coup de telles poursuites, pour un communiqué protestant contre des exactions commises le jour de la fête de l’Aït).
Pour faire cesser ces persécutions infâmes, il y a un moyen bien plus simple :
– Abolir les lois liberticides, qui donnent le droit à ces associations stipendiées de jouer le rôle du Parquet, de poursuivre toute expression qu’elles trouvent inconvenante, et d’extorquer des dommages-intérêts considérables venant s’ajouter aux condamnations pénales de leurs victimes ! Lesquelles, selon la loi, ne sont pas recevables à faire la preuve de la véracité de leurs affirmations, contrairement au droit commun de la diffamation, où l’on peut s’exonérer de toute culpabilité en apportant la preuve de ce que l’on allègue !
–Débarrasser de ce fait la bonne et vieille loi de 1881 de ces dispositions récentes imposées par les Lobbies prétendus anti-racistes, en fait immigrationnistes.
–En revenir à la situation antérieure, où tout pouvait se dire et s’écrire en France, sauf l’injure, la diffamation et l’appel au crime !
Gouvernement et Majorité le peuvent, eux, et cela leur prendrait dix minutes par le vote d’un amendement à l’Assemblée Nationale. Ils le peuvent et ils le doivent, mais ils ne le font pas, tout simplement par complaisance ! Par peur du Qu’en dira-t-on médiatique ! Par lâcheté !
Ce qui leur arrive n’est donc que justice !
Et ces braves jeunes gens de l’UNI (une organisation dont j’ai été l’un des fondateurs, et qui a cru devoir hurler avec les loups quand j’ai été ignoblement persécuté à l’Université de Lyon, avant d’être innocenté de façon éclatante par les onze magistrats de la Cour de Cassation), avec leurs bonnes idées, bien droitières, servent en fait de caution à tout cela, et à leurs maîtres qui les traitent comme ils ont traité les Harkis…Cela ne date pas d’hier ! ».