Jean-François Copé doit se frotter les mains. Après sa saillie sur le racisme anti-blanc, le concurrent de François Fillon dans la course à la présidence de l’UMP poursuit son opération de séduction de l’aile droite de son parti sur laquelle il compte pour l’emporter. Vendredi soir, lors d’une réunion publique à Draguignan, le Secrétaire général de l’UMP a dit ce qu’il fallait pour susciter l’adhésion de la base et l’indignation des progressistes : « Il est des quartiers où je peux comprendre l’exaspération de certains de nos compatriotes, père ou mère de famille rentrant du travail le soir, apprenant que leur fils s’est fait arracher son pain au chocolat par des voyous qui lui expliquent qu’on ne mange pas pendant le ramadan ».
Opération réussie donc puisque son complice du Club Le Siècle, Manuel Valls, n’a pas manqué de réagir à son discours –« J’ai du respect pour Jean-François Copé, dont je connais l’engagement républicain, mais il est dans la dérive »- tout comme Harlem Désir qui l’a accusé de « brader cyniquement toute dignité républicaine » et Najat Vallaud Belkacem qui le soupçonne de vouloir s’attaquer au « vivre ensemble » (sic). Le président de l’Observatoire contre l’islamophobie, Abdallah Zekri, a servi lui aussi le dessein à M. Copé en l’accusant de « virer à l’extrême droite », tandis que l’inénarrable François Baroin dénonçait des « petites phrases » « toxiques et dangereuses ».
Une peur de l’islam « (islamophobie ») qui est encore à la Une de l’actualité avec le coup de filet opéré cette fin de semaine qui a conduit au démantèlement d’un groupuscule islamiste soupçonné d’une attaque antisémite le 19 septembre, en l’espèce l’attaque à la grenade d’une épicerie casher à Sarcelles.
Au cours de cette opération un petit délinquant antillais converti à l’Islam en prison et lors de séjours au Maghreb, Jérémie Louis-Sidney, un polygame de 33 ans, a été tué, arme à la main, par des tirs de riposte de policiers samedi à Strasbourg lors de son arrestation.
Onze personnes sont toujours en garde à vue, des jeunes musulmans en possession de la nationalité française « convertis au salafisme » selon les médias. Le ministre de l’Intérieur a rappelé sur RTL qu’il y a (sur notre sol, NDLR) plusieurs dizaines, voire plusieurs centaines d’individus capables de s’organiser comme le groupe qui vient d’être démantelé», a-t-il dit.Selon une source proche de l’enquête, ce groupe serait aussi en liaison avec un terroriste djihadiste parti combattre en Syrie pour renverser le régime de Bachar-al-Assad…
François Hollande a reçu dimanche à l’Elysée le président du Consistoire israélite de France, Joël Mergui et le président du Crif, Richard Prasquier. M. Mergui s’est dit rassuré à l’issue de cet entretien par « les mesures de sécurité supplémentaires » promises par le chef de l’Etat. « L’existence de milieux délinquants convertis à l’islam radical constitue, pour la communauté juive et nationale, une vraie menace dont la gravité et l’enjeu doivent être mesurés par tous, y compris la communauté musulmane de France » a-t-il ajouté.
« Être complaisant vis-à-vis de l’islam radical, c’est être complaisant vis-à-vis du nazisme », a estimé de son côté M. Prasquier. Évoquant une « idéologie monstrueuse », il a fustigé « l’indulgence, la complaisance vis-à-vis de ces fanatiques du radicalisme islamique ». « C’est l’ensemble de la communauté nationale qui doit se défendre contre des valeurs qui ne sont pas du tout celles dela République ».
Bruno Gollnisch note pour sa part que M. Prasquier s’inquiète bien tard des conséquences de l’immigration-invasion extra européenne. Et qu’il est plus facile, plus confortable de pointer du doigt l’islamisme, que la politique de substitution de population qui est celle de ses amis et soutiens de l’UMPS.
Mais il est vrai que le Crif est au nombre des officines communautaires qui ont participé frénétiquement à la diabolisation d’un Mouvement national qui n’a pourtant jamais été hostile à nos compatriotes de confession ou d’origine juive.
Et que dire de la Licra d’Alain Jakubowicz qui mène la guerre active que l’on sait contre les défenseurs de l’identité française et qui sera partie civile, le 26 octobre, dans l’ affaire d’un jeune homme agressé à l’arme blanche il y a deux ans, gare du Nord, par trois racailles , aux cris de Gawerer («sale Blanc» en arabe)
Me Jakubowicz avoue d’ailleurs qu’à l’instar de Jean-François Copé, il s’agit là de ne pas laisser le champ libre au Front National: «ces petits voyous-là font un mal énorme à la France». «C’était une erreur de ne pas parler de ce phénomène, de le laisser exploiter de manière honteuse par le FN, conclut-il. Sans pour autant les mettre au même niveau que les discriminations dont font l’objet les immigrés, il faut dire les choses. On a culpabilisé à outrance trop de nos concitoyens.» Quel aveu !!!
toto dit
Gawerer ça veut dire français ( au pluriel )
ni sale français ni sale blanc
français au pluriel point
les gawer = les français
gaouri = Un français
beida labiadz = blanc
STEPHANE dit
Beaucoup de bon sens et de vérités à lire sur ce blog. Nous sauverons ce pays en proposant autre chose que le bonnet phrygien et les principes républicains. C’est avec une foi ardente que se font les révolutions pas avec le robinet d’eau tiède ripoublicain dont les Français se foutent. Les régimes passent , la seule réalité charnelle, c’est la France et les Français !
STEPHANE