Bruno Gollnisch était l’invité mardi matin de l’antenne de France Info afin de réagir aux événements qui agitent actuellement le Front National, notamment le souhait de Jean-Marie Le Pen de mettre sur pied une « fondation », les contours et l’objet du prochain congrès prévu par correspondance…
Roger dit
Bonjour,
Ma crainte c’est qu’une « machine à perdre » se met en place sous la direction d’un groupe de « chochottes » qui par allégeance aux diktats de médias hostiles aux nationaux et patriotes se soumettent et vont réduire une force politique de premier plan, bien que sous représentée dans nos institutions, à un statut d’opposant errant sans possibilité de prendre les commandes pour diriger.
Laissez tomber les égos et permettez à ceux qui vous soutiennent d’avoir des dirigeants qui mettent en place un contre programme dans une situation qui entraîne la France et les Français vers le dépôt de bilan et le détricotage de notre Liberté
Cordialement
Jessy dit
C’est le moment ou jamais de prouver notre esprit démocratique une lettre aux adhérents avec un vote.
LAMBERT Richard dit
Je suis gêné par l’orientation gauchiste que prend notre mouvement, il est clair que nous ne pourrons pas tenir le quart des promesses électoralistes de la direction actuelle. Cependant les français étant ce qu’ils sont c’est à dire de doux rêveurs je n’arrive pas à condamner fermement ce qui me semble une dérive aussi bien sur le plan moral qu’économique du programme du parti.
carrelli dit
Effectivement et d’apres un institut de sondage italien – donc à priori « objectif » puisque non impliqué sur le territoire national » le nombre d’européens qui croient encore les informations via les medias mainstream sont de l’ordre de 85% et seulement 5% des français s’informent via les sites web indépendants…
Abdoulaye fall Mao dit
LA NATURE DU CROYANT
Abdoulaye FALL Mao, Président de l’APDR (Alliance Patriotique Diambar pour la République)
«LA FRANCHISE, D’ABORD, ENSUITE ET ENFIN»
Je me suis rendu compte que l’homme a toujours sous-estimé cette «denrée» rare ; parce que le manque de franchise serait l’un des plus gros défauts chez l’être humain.
C’est aussi une immense source de problèmes. Le manque de Franchise fait obstacle aux bonnes idées, ralenti l’action et empêche l’homme de se donner à fond. C’est mortel !
Sans la Franchise – et notez-le bien – l’homme n’obtiendra jamais ce qu’il veut car avec cette qualité intrinsèque, tout fonctionne mieux et plus vite.
Quand je dis «manque de Franchise» je ne parle pas de mauvaise foi patente mais plutôt de l’habitude très répandue qui consiste à éviter instinctivement de s’exprimer avec sincérité.
C’est donc l’attitude de l’homme qui se garde de révéler son point de vue ou d’apporter des idées qui puissent favoriser un vrai débat. Il ne se «déboutonne» pas. Il garde par-devers lui ses observations ou ses critiques. Il se tait pour que les autres se sentent bien et il leur «dore la pilule» pour sauver les apparences.
Sa stratégie consiste à dissimuler ce qu’il sait, pratiquant ainsi, une forme de rétention d’information.
Devant cette attitude peu orthodoxe, force est de constater que les hommes de bonne foi se sentent souvent mal à l’aise.
À vrai dire, il faut admettre qu’un tel comportement est très nuisible pour les sociétés humaines.
L’EFFET FRANCHISE
Voyons comment la Franchise permet de réussir. Son effet est triple :
– D’abord et avant tout, la Franchise permet d’élargir le cercle de confiance.
– Ensuite, la Franchise est une qualité qui permet à l’homme de gravir rapidement les échelons, eu égard au fait qu’il serait alors écouté et respecté ; quand toutes les idées sont sur le tapis, on peut rapidement en discuter, les développer, les améliorer et les mettre en œuvre.
– Enfin, la franchise contribue à réduire d’éventuels malentendus bien qu’il soit impossible de déterminer précisément dans quelle mesure.
POURQUOI LA FRANCHISE EST-ELLE SI RARE ?
Etant donné les avantages de la Franchise, il faut se demander pourquoi elle n’est pas plus courante.
On nous apprend dès l’enfance, à «enrober» les mauvaises nouvelles ou à éviter les sujets délicats qui pourraient choquer notre interlocuteur ; c’est une réalité pour toutes les cultures, dans la plupart des pays africains et pour toutes couches sociales.
Lorsque vous vivez, par exemple, à Ndiandiar Makha FALL – mon village natal – vous ne dites pas du mal des petits plats mitonnés par votre maman, vous ne déclarez pas du tout à votre meilleur ami qu’il est gros et, enfin, vous ne direz pas à votre vieille tante que le cadeau qu’elle vous a fait pour votre mariage était ringard.
En Afrique, ces attitudes sont souvent bannies et peuvent être interprétées comme révélatrice d’une certaine forme d’insolence.
DONC, LA FRANCHISE
On finit par se rendre compte que si l’homme n’exprime pas ce qu’il a dans «le cœur», c’est tout simplement parce qu’il pense que cette attitude «lâche» st plus sécurisante pour ne pas avoir à «blesser» certains !.
Pourquoi l’acteur hésite-il tellement à célébrer sa victoire ?
Peut-être que faire la fête ne lui semble pas très rassurante et «professionnelle», peut-être parce qu’il a peur de ne pas avoir l’air sérieux, face aux devoirs en place ou de donner l’impression qu’on est là pour s’amuser et que ce n’est plus la peine. Et si seulement il y a une recette facile pour devenir un leader ! Il n’y en a pas.
Être décideur, c’est relever des défis, assumer des responsabilités et supporter des pressions.
Malgré tout, le bon leadership existe bel et bien; et, il se présente sous des formes différentes :
– Il y a le Leader discret et le Leader tonitruant ;
– Il y a également analytique et un impulsif.
Ma question : Faites-vous suffisamment la fête ? Ne suscite pratiquement jamais de bonnes réponses.
LA DIFFERENCIATION: LE POUR ET LE CONTRE
La différenciation est injuste parce qu’elle est toujours influencée par les termes du pouvoir internes et permet au fond de départager ceux qui «lacent les bottes du Patron» et ceux qui ne le font pas.
Il est vrai, sans l’ombre d’un doute, que dans certains groupes, la différenciation est dénaturée par le copinage et le favoritisme.
Seul argument positif que j’ai en faveur d’un système qui ne fonctionne pas au mérite, c’est qu’il finit par s’autodétruire. Soit il s’effondre sous son propre poids, soit il doit évoluer. Les résultats ne sont pas suffisamment bons pour que le groupe se tienne le coup.
L’Ethique est moyen de rester dans la course.