Encore une minute monsieur le bourreau : les dirigeants européens de la zone euro ont accordé 48 heures supplémentaires au grec Alexis Tsipras pour fignoler son plan de redressement. Un sommet décrit comme celui de la dernière chance…comme furent désignés tous les précédents ! Ce plan devra être validé par l’UE, la Banque centrale européenne et le Fonds monétaire international. A une semaine d’un éventuel défaut de paiement (le versement obligatoire avant le 30 juin d’1,5 milliard d’euros au FMI), le couteau est laissé sous la gorge d’Athènes puisque cette réunion européenne n’a pas évoqué la reprise des crédits et évacué la possibilité même d’un troisième plan d’aide. Surtout, il a été signifié à M. Tsipras qu’il ne pourra obtenir d’abattement sur les 320 milliards de dette de son pays, que nous évoquions dans notre article publié hier. Or, c’est le montant faramineux de celle-ci qui, pour M. Tsipras, plombe toute possibilité de redressement financier, de redécollage économique. Un article paru dans l’Obs, cite l’économiste Costas Lapavitsas : « L’Europe veut mettre la Grèce à genoux pour servir d’exemple à tous ceux qui seraient tentés de remettre en question le modèle dominant. Les prochains à s’en rendre compte seront peut-être les Espagnols de Podemos… ».
Si nos compatriotes subissent pleinement les conséquences de l’inféodation de notre pays aux dogmes bruxellois, notre justice est, elle, souvent encombrée par les actions procédurales des lobbies antinationaux. Nous l’avions signalé, Anne-Sophie Leclère, ex-tête de liste FN aux municipales de 2014, avait été condamnée par le tribunal de Cayenne à neuf mois de prison ferme et cinq ans d’inéligibilité. Elle fut accusée de racisme pour avoir hébergé sur sa page facebook une caricature de notre garde des sceaux l’assimilant à un singe, le tout assortie d’une mention peu aimable. Mme Leclère, résidant dans le département des Ardennes, avait été jugée suite à la plainte du mouvement guyanais Walwari fondé en 1993 par la militante indépendantiste Christiane Taubira. Ce lundi, la cour d’appel de Guyane a finalement annulé cette condamnation dans un arrêt soulignant plusieurs motifs d’irrecevabilité.
C’est une bonne nouvelle tant la montée au créneau de cette association ne pouvait qu’accréditer l’idée d’une justice partisane. Une opinion hélas confirmée par de nombreux exemples et notamment par l’influence néfaste que fait régner un syndicat extrémiste, ouvertement en guerre contre l’opposition nationale, comme le Syndicat de la magistrature (SM). Un FN sur lequel certains s’acharnent encore à faire peser l’accusation de haine raciale, au motif qu’il défend simplement notre identité nationale, dans toutes ses dimensions.
Dans ce registre même une publication comme Marianne se piquant de politiquement incorrect, de résistance à la pensée unique libéro-bruxelloise pour faire court, se rachète de ses critiques contre le Système en maintenant le mythe d’un FN mue par ses mauvais instincts…et donc (toujours) infréquentable.
Une opinion que le blogueur «socialo-chevènementiste» Elie Arié «graphomane» « socialo-chevènementiste », se charge de relayer sur le site de ce journal en tapant encore sur le même clou. Il écrivait ces derniers jours qu’ « il reste au FN un énorme travail en profondeur à réaliser en son sein pour se dédiaboliser, opération qui ne peut se résumer à un simple changement de carte de visite ».
Pourquoi ? Parce qu’explique-t-il « cette dédiabolisation anti-racialiste du FN est encore trop récente, trop fragile et trop superficielle pour convaincre (sic); elle n’est portée que par un seul homme, Florian Philippot ; mais ce«racialisme , cette vision ethniciste de la France, sont encore trop présents dans le parti, aussi bien au niveau de certains dirigeants minoritaires (Bruno Gollnisch) que de l’appareil, qu’il s’agisse de cadres ou de militants: pas une semaine sans qu’il faille en exclure un pour propos racistes, et qui ne sont que la partie émergée de l’iceberg » fantasme-t-il.
Il est vrai que le cas Gollnisch obsède beaucoup M. Arié qui s’inquiétait pareillement dans ces derniers éditoriaux que « l’idéologie («d’extrême droite classique» soit) «toujours présente (au FN) dans l’importante minorité regroupée autour de Bruno Gollnisch». Il prêtait encore à Bruno un fond antisémite au motif qu’il « préfère parler de notre civilisation helléno-chrétienne plutôt que judéo-chrétienne », et qu’il revendique la liberté de recherche historique !
Recherches ou à tout le moins connaissances historiques qui permettent pourtant d’amender sérieusement les poncifs, les bobards et autres petits arrangements avec la vérité véhiculés par les médias; bref de ne pas être dupe de la basse propagande qui s’y étale trop souvent.
Nous l’avons encore vu à l’œuvre dans les commentaires et articles qui ont suivi la tuerie opérée par Dylann Roof un jeune blanc déséquilibré ( ?) se revendiquant du suprémacisme racial dans une église noire de Charleston, mercredi soir en Caroline du Sud. Occasion offerte aux commentateurs de gloser sur la persistance du racisme dans les anciens Etats confédérés, et notamment en Caroline du Sud, le premier Etat à faire sécession en 1861, où, horresco referens, « l’emblème sudiste flotte toujours près du siège du gouvernement » comme l’a déploré « la politologue et historienne Nicole Bacharan » dans Libération.
« A son sujet (du drapeau, NDLR) deux discours se font » face relève Mme Bacharan. «L’un hypocrite, affirme que c’est un élément de l’histoire du Sud, qu’il n’y a pas de raison d’en faire un motif de honte. L’autre affirme que c’est une manière détournée mais très lisible de défendre le racisme ». La vérité commande surtout de dire que le racisme intercommunautaire est présent partout aux Etats-Unis et que les crimes de haine, selon la terminologie usitée, ne sont pas le triste monopole des blancs; leurs auteurs se retrouvent dans toutes les communautés.
Quant à la guerre de sécession (1861-1865), conflit qui a été le plus meurtrier pour les Etats-Unis, elle n’est pas réductible au combat des gentils contre les méchants, du bien contre le mal. Le journaliste et écrivain Alain Sanders l’a dit et écrit dans son livre sur ce conflit, celui-ci a éclaté car les Etats du sud ont protesté «contre des taxes et des impositions prohibitives favorisant les Etats du Nord. » La vision du président nordiste Abraham Lincoln voulant abolir l’esclavage « est une escroquerie absolue », au-delà même de son souhait formulé après la guerre de « déporter » les populations noires libérées vers l’Afrique où vers un territoire qui leur serait accordé en Amérique du sud.
« Lincoln, qui a a lui-même déclaré, en 1860, que s’il pouvait maintenir l’Union sans libérer un seul esclave il le ferait sans hésiter. Rappelons que la famille de Lincoln possédait des esclaves quand le général Lee et Jefferson Davis, le futur président de la Confédération, avaient depuis longtemps affranchi les leurs. Le prétexte abolitionniste n’a été excipé par Lincoln qu’en 1862 quand il s’est aperçu que ce prétexte humanitaire pouvait lui valoir la compréhension des Etats européens (notamment la France et l’Angleterre) dont les sentiments étaient plutôt pro-sudistes ». Là encore le manichéisme n’est pas de mise, même si ce type de raisonnement a très souvent les faveurs de nos adversaires et des très conformistes médias français.
Patrick Euvrard dit
Comme toujours, c’est la manipulation de la réalité historique par les vainqueurs.
Cornelius dit
Sous prétexte de dénoncer « le racisme » aux USA ou en France, le gouvernement et les journaux veulent s’en prendre avant tout aux opposants au Grand Remplacement. Quand ils se disent antiracistes, c’est du langage codé pour s’en prendre aux Blancs et par exemple au Front National, qu’ils attaquent avec toute la puissance de leur monopole médiatique.
En réalité, ce sont les opposants au Grand Remplacement qui ont moralement raison. Les gouvernements occidentaux veulent faire en sorte qu’on ne soit plus qu’une petite minorité dans nos propres pays d’ici 3 ou 4 générations. C’est un programme monstrueux !
La fusillade qui s’est produite l’autre jour dans une église de Charleston ne change rien au fait que les Blancs sont de loin les principales victimes de la violence interraciale aux USA. Les médias veulent nous faire croire le contraire de la vérité.
Par exemple, la télé française a utilisé l’affaire Trayvon Martin, et l’affaire Michael Brown (qui a déclenché les émeutes de Ferguson) pour présenter la police américaine comme coupable de racisme anti-noir. Dans une autre affaire, je me souviens d’avoir vu le présentateur Gilles Bouleau annoncer triomphalement à l’ouverture du journal de TF1 que la police américaine avait à nouveau tué un Noir désarmé (Eric Garner), et que cette fois-ci on avait les images. En réalité, dans toutes ces affaires, si on se renseigne un peu, on voit bien qu’il ne s’agissait pas du tout de violence raciale visant les Noirs. La propagande des médias est donc une propagande anti-blanche, et non pas antiraciste.
Concernant la guerre de sécession, j’ai la même opinion que pour la 2ème guerre mondiale. Lincoln et Daladier auraient dû chercher un compromis pacifique et s’abstenir de déclarer la guerre. Le prétexte polonais était tout aussi miteux que le prétexte anti-esclavagiste.
Sophie dit
Les médias du système pratiquent comme toujours la désinformation en voulant nous faire croire que les gentils Noirs sont les perpétuelles victimes des méchants racistes Blancs.
On cache la réalité: 91% des Noirs aux Etats-Unis sont tués par d’autres Noirs.
De plus, bien qu’ils soient 6 fois moins nombreux, les Noirs tuent chaque année bien plus de Blancs que ces derniers ne tuent de Noirs.
Les chiffres ici:
http://ripostelaique.com/etats-unis-messieurs-les-journaleux-91-des-noirs-sont-tues-par-des-noirs.html
Cornelius dit
« Un FN sur lequel certains s’acharnent encore à faire peser l’accusation de haine raciale, au motif qu’il défend simplement notre identité nationale, dans toutes ses dimensions. »
L’accusation de haine raciale est un simple stratagème pour paralyser l’opposition au Grand Remplacement. Ils utilisent un système de double attaque: invasion migratoire + submersion sous les diffamations.
En utilisant leur monopole médiatique pour nous arroser de calomnies diverses, les remplacistes réussissent à impressionner pas mal de gens. Les gens normaux renoncent alors à voter FN. Et parmi les nationalistes, on s’empresse alors de se défendre contre les accusations bidon au lieu de dénoncer la politique remplaciste.
Dans le monde réel, l’agression vient du gouvernement et des médias. C’est évident qu’ils détestent ce qu’ils appellent « la France profonde » (autrement dit: l’identité européenne).
L’idée que le Grand Remplacement est une obligation morale est complètement farfelue. Pourquoi faudrait-il remplacer les Européens? On sait bien que les gauchistes crieraient au scandale si on décidait de remplacer la population d’un pays africain par des non-Africains. D’ailleurs, nos ennemis se défendent de mettre en place un grand remplacement, car ils savent bien que c’est une politique immorale. Et ils savent aussi que l’immigration massive conduit au remplacement.
Si on veut aider les Africains, il suffit de les aider en Afrique. Ça nous permettra d’en aider beaucoup plus pour le même prix. En fait, le gouvernement et les médias se fichent pas mal des Africains.
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À propos du drapeau sudiste, aux USA, Hillary Clinton a dit qu’il vaudrait mieux le laisser au placard. Je m’attends à ce que Sarkozy propose bientôt de changer de drapeau français pour rompre avec l’horreur colonialiste.