La mondialisation est en marche: pour la première fois, selon le cabinet Gira Conseil, dans le classement du sandwich le plus consommé en France, les ventes de burgers ont dépassé celles du traditionnel jambon-beurre (1,5 milliard de burgers consommés l’année dernière, contre 1,2 milliard de jambon-beurre ). Sandwich français déjà concurrencé par la floraison des kebabs, eux aussi révélateurs du grand remplacement…culinaire. L’américanisation de notre pays via les chaînes de restauration rapide, la malbouffe, la junk food -et une production hollywoodienne télévisuelle, musicale et cinématographique souvent du même acabit, à de très notables et très heureuses exceptions près- est une (triste) réalité, dont on perçoit les ravages notamment sur le plan de la santé publique. Mais Emmanuel Macron entendrait faire oeuvre de résistance, au moins par son souhait affiché de faire rayonner plus avant la francophonie. Objectif louable, tant il est vrai que notre langue, dont les locuteurs sont présents sur tous les continents, participe du soft power de la start-up France comme le dit M. Macron dans la langue de l’empire…Il était hier après-midi devant l’Académie française pour présenter son plan de développement de la francophonie, affichant l’ambition de hisser le français, pratiqué par environ 300 millions de personnes, du cinquième au troisième rang de la langue la plus parlée dans le monde. Objectif qui sera peut être d’ailleurs attient, avec ou sans plan macronien, à l’horizon 2050, du fait de l’explosion démographique du continent africain et notamment de nos anciennes colonies, quand bien même l’anglais y concurrence de plus en plus fortement la langue de Molière et de Léopold Senghor…
Les intellectuels français, du moins certains d’entre eux, se préoccupent aussi du vivre-ensemble qu’ils estiment menacés par le développement d’un communautarisme engendré par l‘islam rigoriste. Une centaine d’écrivains, de journalistes, d’essayistes, d’universitaires ( Georges Bensoussan, Rémi Brague, Pascal Bruckner, Luc Ferry, Alain Finkielkraut Bernard Kouchner, Élisabeth Lévy, Yann Queffelec, Sylvain Tesson…) ont signé une tribune publiée dans Le Figaro mardi, intitulée Non au séparatisme islamiste. Ils entendent défendre la laïcité et s’inquiètent du « nouveau totalitarisme islamiste » « (qui) cherche à gagner du terrain par tous les moyens et à passer pour une victime de l’intolérance. (Nous avons) pu observer cette stratégie lorsque le syndicat d’enseignants SUD Éducation 93 proposait il y a quelques semaines un stage de formation comportant des ateliers de réflexion sur le racisme d’État interdits aux blancs » est-il encore écrit. Quand bien même l’islam n’est pas réductible à une couleur de peau ou à une ethnie, et que de la même façon le racisme antifrançais n’est pas l’apanage des populations musulmanes.
Une idéologie antiraciste qui, au nom de sa logique victimaire faisant du mâle blanc l’archétype du salaud et de l’étranger forcément une victime, un damné de la terre intouchable, est responsable de bien des tragédies. Nous en avons vu les dégâts à travers la très emblématique affaire des milliers de viols commis en Angleterre par des gangs d’ immigrés principalement originaires du sous-continent indien, sur des adolescentes britanniques dans les communes de High Wycombe, Nelson, Oxford, Rochdale, Telford… Crimes révélés il y a plus de six ans en France par le site fdesouche et dont nous nous étions fait l’écho en novembre 2012 sur ce blogue.
La journaliste britannique Joanna Williams a jeté un pavé dans la mare dans un article récent ( repris sur le blogue bellica ) en affirmant que « l’information selon laquelle des filles, certaines de 11 ans, ont été droguées, battues et violées par des gangs composés d’hommes en majorité de musulmans asiatiques [le terme asian désigne en anglais surtout les communautés pakistanaises, indiennes et bangladaises], a toute sa place dans le cadre d’une campagne contre les violences sexuelles (…). » Or, « le silence sur l’exploitation sexuelle à Telford révèle l’hypocrisie au cœur du mouvement #MeToo. Les militantes #MeToo de la haute société n’ont de cesse de clamer qu’elles sont guidées par leur volonté d’aider les femmes moins favorisées qu’elles, et non par leur intérêt personnel. »
Mme Willians relève avec la même pertinence qu’il est fort possible que dans l’esprit des bien-pensants, « les hommes asiatiques accusés de détournement de mineur, de viol, de trafic de drogue, de meurtre et de pédophilie appartiennent à la mauvaise catégorie d’hommes violents. #MeToo préfère que les accusés soient des hommes blancs et puissants (…). Les violences commises par des hommes musulmans bousculent la hiérarchie soigneusement mise en place par le féminisme intersectionnel et contredisent le discours habituel sur le patriarcat. Les tribuns et militantes s’inquiètent davantage du risque de racisme ou d’islamophobie que des violences sexuelles qui ont eu lieu. »
Bien sûr, beaucoup de pieux musulmans, honnêtes et pacifiques, les pratiquants de l’islam dit du juste milieu, ne se reconnaissent pas dans cette haine de l’européen des islamistes et encore moins dans les agissements des immondes crapules mentionnées plus haut. Et il est tout aussi certain que les premiers responsables de cette barbarie-là sont les politiciens de tous bords qui en Angleterre, en France, en Allemagne comme dans dans les autres pays européens, ont permis l’installation des zones de non droit, l’impunité de la racaille, le retour de la sauvagerie, du tribalisme communautaire. Ce sont aussi les mêmes qui entretiennent par leurs actes et leurs discours hypocrites sur le vivre-ensemble, la sidération, le masochisme et la repentance des populations autochtones européennes.
Nous l’avons dit cent fois et nous le répétons ici, il s’agit de ne ne pas confondre les causes et les conséquences du problème. A Rochdale comme en Seine-Saint-Denis, à Cologne comme à Oslo, à Milan comme à Mollenbeek, c’est en premier lieu de l’immigration massive dont souffrent la France et ses voisins européens. Le développement des communautarismes découle mécaniquement de la poursuite de cette immigration torrentielle qui empêche de facto toute assimilation – quand bien même serait-elle hypothétiquement souhaitée par la majorité des immigrés. Défendre la laïcité comme le veulent les pétitionnaires du Figaro , consiste en tout premier lieu à exiger l’inversion des flux migratoires , c’est à cette aune que l’on peut juger de leur cohérence et de leur sincérité.
Rappelons-le encore, les premières victimes des insécurités sociale, économique et culturelle générées par l’immigration hors-contrôle sont les Français les plus modestes et les classes moyennes qui subissent de plein fouet son coût financier et humain de plus en plus insupportable. Autant dire que le soutien apporté par La France Insoumise (LFI) qui se veut le défenseur des petits, à la poursuite de de cette invasion-là est particulièrement choquante. Encore dernièrement, dimanche, ce sont des militants mélenchonistes et le collectif Coordination des sans-papiers qui ont encadré et appuyé l’occupation par des immigrés clandestins de la Basilique Saint-Denis. Marine s’en est indignée: «en appelant des migrants à profaner la Basilique Saint-Denis, nécropole de nos rois, La France Insoumise et l’extrême-gauche démontrent que, dans leur folie immigrationniste, ils sont prêts à piétiner notre civilisation et à profaner un lieu de culte historique. »
Édifiée en un lieu déjà sacré à l’époque des Gaulois, victime du vandalisme révolutionnaire sans-culotte en 1793 -il faut lire les pages fortes écrites sur cet épisode par Jean Raspail dans son beau roman Sire-, la nécropole est un témoignage de notre longue histoire, de la construction patiente de notre pays par les quarante rois qui ont fait la France et lui ont donné forme. Son occupation a valeur de symbole, note Bruno Gollnisch, dans un département qui cumule déjà toutes les tares de l’immigration subie. Une Basilique qui déchaîne apparemment toujours la haine plus ou moins inconsciente de ceux qui refusent d’entendre que la France a une âme , est faite de chair et de sang, n’a pas commencé en 1789, n’est pas réductible aux rêves mortifères d’une république universelle, à l’abstraction droit-de-l’hommiste, ni cet hôtel fantasmé par Jacques Attali, peuplé de nomades/consommateurs interchangeables. Alors oui entre les nationaux et les mondialistes, Français et européens doivent choisir leur camp. Et vite.
Florent dit
La question qui intitule cet article est trop rhétorique et polémique pour ne pas mordre brièvement à l’hameçon… L’Islam, deuxième religion du monde, 2 milliard d’adeptes, ne devrait jamais être qu’une secte mineure et obscure, rameau agressif et proliférant de la branche chrétienne du tronc judaïque, dans le panthéon païen qui accueille et phagocyte intelligemment tous les dieux et tous les systèmes de pensée des peuples connus ou conquis de façon assez empirique et pragmatique pour élever et étayer notre conscience aux différents stades de la connaissance de notre univers. Néanmoins, l’Islam proclame qu’il n’est qu’un seul dieu en la divinité d’Allah et Mahomet fut son prophète. Dès lors, l’Islam ne peut tolérer l’existence d’autres dieux ou systèmes de pensée. De nature totalitaire et universel, l’Islam est le grand ennemi historique de l’Europe (bien plus que le communisme) des croisades à la Reconquista, de la prise de Constantinople à la libération de la Grèce au XIXe siècle. Ainsi s’il faut choisir un camp comme cet article nous y enjoint, je suggère celui de Loxias, dieu de la jeunesse, de l’ordre et de la vérité dont le temple est à Delphes, au centre du monde. (car Iupiter n’est qu’un vieux coureur de jupon et il n’est rien sans son fournisseur d’éclairs Héphaïstos)
Alain dit
Quand un musulman est abreuvé des sourates du Coran depuis sa naissance, il doit appliquer si il est bon musulman ce qui s’y trouve . On pourra trouver des excuses relatives à leur nombre , au prosélytisme mais si l’on ne veut pas faire de la basse politique il faut reconnaître que l’Islam est bien le problème et cela depuis plus de quatorze siècles.
lansquenet dit
L’Islam est d’abord un problème car il prend part au Spectacle.
Les émeutes de Ferguson, suite à la mort d’un jeune noir abattu par la Police, ont été infiniment médiatisées. Dans le même temps un jeune blanc est mort dans des circonstances tout à fait analogues, quasi silence.
Tout événement doit s’interpréter au prisme de la lutte des classes. L’immigration, l’islam, sont utiles à la classe oligarchique mondialiste pour 5 raisons:
– divisions de réserve du Capital, pression à la baisse sur les salaires
– immigrés venant des « civilisations du temps immobile » (Engels) c.a.d le rappeur noir bave devant la Masérati (voir le film Intouchables), et le barbu veut une mosquée… prolétaires tout à fait adéquate pour l’oligarchie, loin du titi rouge qui proclamait « A bas le salariat ! »
– diviser pour régner, le colon s’oppose au souchien, burkini, barbu, mosquée, Marchais l’avait déjà dénoncé
– surponte africaine importée pour remplir les supermarchés.
– Tafta = US + USbis, l’UE multiethniquée devient le reflet de son maître US.
Et ONGs prébendiers, ex-France soumise, NPA, les braves gochos collabos de Soros, Médef, UE, et autres oligarques mondialistes