À l’occasion de la « gay pride » à Lyon ce samedi 14 juin, 250 patriotes se sont rassemblés le même jour Place Antonin Poncet (Lyon 2ème) pour exprimer leur soutien à la famille traditionnelle et au couple traditionnel composé d’un homme et d’une femme ! En présence du député européen Bruno Gollnisch, des conseillers régionaux Liliane Boury, Maurice Faurobert et Albert Rosset, des conseillers municipaux Danica Ljustina et Yvan Benedetti, et du conseiller d’arrondissement André Morin, ils ont exposé leurs banderoles portant les inscriptions : « Défendons la famille », « Non au péril rose » et « Ne sois pas gay, tu finiras triste ».
Muni d’un mégaphone, Bruno Gollnisch a brièvement évoqué les raisons du rassemblement et la nécessité de défendre la famille traditionnelle. Ensuite, le cortège s’est mis en route pour rejoindre sans incident majeur la Place du docteur Gailleton 500 mètres plus loin. Scandant des paroles en faveur de la famille hétérosexuelle, les manifestants ont eu le soutien de plusieurs familles qui se sont spontanément jointes à la manifestation.
Arrivée Place du docteur Gailleton, Yvan Benedetti a pris la parole en rappelant les étapes successives de la destruction de la famille hétérosexuelle par les partis politiques du système. Insatisfait de cette situation, il a exprimé le souhait de revenir aux valeurs traditionnelles. C’était également le message de Bruno Gollnisch qui, à la suite de M. Benedetti, a dénoncé la condamnation de M. Vaneste (CNI) en 2006 parce que celui-ci s’était librement exprimé, sans employer la moindre insulte à l’égard du monde gay, pour la préférence de la famille hétérosexuelle. A ce sujet, Bruno Gollnisch a également insisté sur la liberté de parole et de pensée dont il fut lui-même récemment privé en étant lourdement condamné par la justice française. Ensuite, il a souligné la nécessité de défendre la culture de vie contre la culture de mort. Montrant qu’il vaut toujours la peine d’espérer contre toute espérance, Bruno Gollnisch a évoqué la victoire du peuple irlandais sur l’Europe de Bruxelles qui a rejeté la Constitution européenne bis, réincarnée dans le Traité dit « simplifié » de Lisbonne.
Les manifestants se sont ensuite dispersés en bon ordre et discipline avec l’intention de se rassembler à nouveau l’année prochaine pour continuer le combat.
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