Nous avons eu droit aux déclarations et opuscules haineux à l’endroit du Front National concoctés tout dernièrement par les ateliers du PS (Azeroual, Vallaud-Belkacem, Bachelay…) et de l’UMP (NKM), synthétisés par le pensum du « duo » Laurence Parisot-Rose Lapresle, au nom de la branche mondialiste du Medef. Il était dans la logique des choses que des « artistes » en (recon)quête d’audience et en mal de publicité se fendent à leur tour d’un crachat au visage des Français qui refusent le déclin de notre pays en votant Front National. Le « comique » Mathieu Madenian et l’acteur Gérard Darmon ont profité de leurs derniers passages médiatiques pour traiter respectivement les électeurs du FN de « fils de P.», et pour assurer que le président du comité de soutien de Marine Le Pen, Me Gilbert Collard, était « à la droite d’Hitler ». Difficile de faire plus méprisable, plus insultant, plus con…venu.
Bruno Gollnisch constate une nouvelle fois, le décalage entre « la France d’en bas », le pays réel et ses « élites » autoproclamées. On insulte avec la conscience tranquille les 37%d’ouvriers qui déclarent notamment vouloir voter Le Pen en 2012, celles et ceux qui ne se résignent pas à l’insécurité et à la perte d’identité générée par une immigration de peuplement dont nos compatriotes les plus modestes sont les premières victimes.
Electeurs frontistes qui refusent pareillement de sombrer dans le fatalisme d’une classe politicienne qui affirme qu’au nom de la « mondialisation », la désindustrialisation de la France, les délocalisations de nos entreprises sont dans l’ordre des choses. Exemple parmi des dizaines d’autres, le quotidien La Tribune relevait aujourd’hui que les constructeurs automobiles français ont réduit d’un tiers en dix ans leur production sur le territoire national, que le déficit commercial dans ce secteur, découle en très large partie des voitures françaises… produites à l’étranger, et qui viennent alourdir le bilan des importations…
Français qui sont attachés aussi aux valeurs traditionnelles et qui placent également leurs espoirs dans le vote national, comme l’indiquait encore un sondage opinion way en mars dernier, dans lequel 38% des personnes interrogées considéraient Marine Le Pen comme la candidate « d’une droite patriote attachée aux valeurs traditionnelles. »
Valeurs traditionnelles, vilipendées, brocardées, attaquées systématiquement par les faiseurs d’opinion, à commencer par les publicitaires chargés eux aussi d’occuper « le temps de cerveau disponible » de nos compatriotes, et de faire passer les « messages de tolérance. »
il y a quelques mois, le constructeur automobile Renault avait gratifié les Français de spots publicitaires pour un de ses modèles, montrant la complicité émue d’une mère apprenant que sa fille travaille dans un peep show et celle d‘un fils découvrant avec tendresse que son père fait des heures sup le soir comme travesti. Peut-on rêver mieux ? La maison Eram, elle aussi à côté de ses pompes, a enfoncé le clou avec sa dernière campagne, réalisée par les Ateliers Devarrieux, qui a choqué légitimement un grand nombre de nos compatriotes. Campagne se déclinant avec les messages suivants: « Comme disent mon papa, ma maman, et la troisième femme de mon papa, la famille c’est sacré », mais aussi « Comme disent ma maman, et son petit copain qui a l’âge d’être mon grand frère, la famille c’est sacré » et bien sûr « Comme disent mes deux mamans, la famille c’est sacré »…
Devant le tollé suscité et qui s’est illustré par les messages qui ont envahi les réseaux sociaux, la direction d’ Eram n’a pas voulu se déjuger et persiste et signe dans un communiqué. « A l’heure où les divorces sont de plus en plus nombreux en France, a expliqué la direction de la marque, où le mariage homosexuel vient d’être légalisé à New York, Eram met les pieds dans le plat et affiche dans la rue et les magazines des portraits de familles comme on ne les montre jamais dans la publicité: destructurées, recomposées, éclatées, décomposées. Des enfants qui ont deux mamans, d’autres qui ont un père, une mère et trois belles mères, d’autres encore dont le beau père a l’âge d’être leur grand frère. La vraie vie, quoi. Mais si les familles explosent, l’esprit de famille reste. Car quoi qu’il en soit: la famille c’est sacré. »
Le degré de confusion (perversité ?) intellectuelle qui découle de cette promotion lourdingue de l’homoparentalité et de la déstructuration des familles laisse pantois. A fortiori quand on connaît l’importance de la stabilité familiale et de repères forts pour le développement harmonieux et l’équilibre des enfants, pointés par tous les pédopsychiatres.
Les Français en sont d’ailleurs largement conscients, y compris ceux qui sont passés par les affres d’un divorce. Selon le sondage Ipsos/Logica, réalisé pour La Croix et la Conférence des évêques de France, 77% des Français souhaitent construire une seule famille en restant avec la même personne. Ils sont même 89% chez les 25-34 ans. Pour 55% des Français (73% des catholiques pratiquants réguliers), les propositions des candidats en matière de politique de la famille pèseront dans leur vote en 2012…
Alors, en effet, comme le réaffirmait Bruno Gollnisch lors de son discours du Congrès de Tours, « la remise à l’honneur des valeurs traditionnelles et de droit naturel – ce n’est pas ringard, c’est moderne, de défendre les valeurs traditionnelles ! ». Il est temps, grand temps, que les Français renvoient définitivement dans le passé les acteurs d’un Système qui contribue tant à la ruine de notre pays et ce, dans tous les domaines.
Jean dit
Monsieur Gollnisch,
Il ne faut pas vous décourager, les choses vont changer et plus vite que ces gaucho-mondialistes ne le pensent.
Le changement est vraiment en marche, souvenez vous de ce que vous à dit un jour un magistrat, « préparez vous le pouvoir viendra à vous »…
Gene dit
Oui il est temps que la population française se rende compte des manipulations diverses qu’elle a subie, dans tous les domaines, depuis très longtemps!
Pouchka dit
Oui il est grand temps que la politique se mette en oeuvre pour les français. Merci de nous aider à garder la tête haute.