L’air est connu, commentant publication des nouveaux chiffres du chômage, le nombre de demandeurs d’emploi ayant atteint un niveau historique, dramatique de 3,388 millions en métropole, Manuel Valls a clamé que « l’heure est à l’action ». Comprendre à s’entêter à utiliser les mêmes mauvaises recettes qui ont fait la preuve de leur inefficacité. Pathétique. Si les Français font grise mine, les Algériens eux aussi sont passés à l’action et faisaient la fête hier soir pour fêter le match nul de leur équipe face à la Russie qui la propulse en huitième de finale de la Coupe du monde de football. Belle démonstration de patriotisme, les joueurs algériens ont fait le tour du terrain à l’issue de la rencontre en brandissant le drapeau de leur pays. La liesse populaire était aussi de mise en Algérie, dés le coupe de sifflet final, mais elle ne s’est pas manifestée là bas par les violences et les dégradations qui se sont déroulées sur notre sol….comme ce fut le cas déjà lors des deux derniers matchs des « fennecs » dans ce Mondial. Violences sur lesquelles les grands médias audiovisuels ont curieusement choisi très largement de ne pas informer les Français.
Omerta qui s’est tout de même un peu fissurée car internet est passé par là, et il devient difficile d’occulter totalement la réalité, si ce n’est à accréditer encore plus l’idée , déjà largement répandue dans l’opinion, de la malhonnêteté foncière des médias dominants…De nouvelles scènes d’émeutes et de haine antifrançaise ont donc éclaté hier soir à Paris, Lyon, Vaulx-en-Velin, Saint-Priest, Marseille, Lille, Roubaix, Tourcoing, Maubeuge, Valencienne, Grenoble, Le Havre et dans de nombreuses autres communes plurielles. Véhicules de « gaulois » et mobiliers urbains incendiés (les Français paieront…) , passants et policiers agressés, pillages, caillassages … : de nombreux supporters algériens ne se sont pas contentés de bloquer la circulation et de faire du raffut en brandissant des drapeaux.
Comme l’a noté Marine hier après-midi lors d’une conférence de presse à Nanterre, « ce qui est malheureux avec les matchs de l’Algérie, c’est que qu’ils gagnent ou qu’ils perdent, de toute façon, on a des violences, des dégradations et des agressions ». «C ’est le seul pays avec lequel il y a ce genre de problèmes », avec des supporters « animés par un esprit de revanche » contre la France. La présidente du FN a encore relevé que les gouvernements français et algériens seraient bien inspirés de rappeler à l’ordre les binationaux se livrant à de telles exactions.
Hier également, sur le site du Point, Charles Consigny réagissait pour s’en féliciter, à l’arrêt rendu la veille par l’assemblée plénière de la Cour de cassation qui a confirmé le licenciement de Fatima Afif, la salariée voilée de la crèche Baby Loup de Chanteloup-les-Vignes (Yvelines) qui refusait d’enlever son foulard islamique sur son lieu de travail, affaire que nous avions évoqué sur ce blog.
Pour autant, « nous venons peu à peu (en France), hélas, au communautarisme constate M. de Consigny, en raison d’une lâcheté politique d’une part et d’un refus d’intégration (ne parlons pas d’assimilation) des populations immigrées d’autre part, ce refus étant une conséquence, à laquelle on pouvait et on devait s’attendre, d’une politique migratoire délirante qui fait entrer tous les ans en France deux cent mille personnes venues de l’étranger ».
« La conception française de la laïcité est attaquée à l’intérieur de la République, jusque par des conseillers d’État, comme M. Tuot dont le rapport sur le sujet préconise de créer les conditions d’une société inclusive qui s’adapterait aux exigences minoritaires. Elle est attaquée, aussi, de l’extérieur, par l‘Union européenne mais aussi par l‘ONU, dont diverses littératures pressent la France de s’adapter à ces nouvelles populations et de se préparer à être submergée par d’autres dans des proportions folles, aux fins d’opérer à des rééquilibrages de peuplement au niveau mondial – ce faisant, l’ONU dénie aux nations toute identité, elle fait du monde un vaste territoire avec des pions qu’on déplace et des frontières qu’on redéfinit au gré des besoins du moment ; autrement dit, elle acte la fin de l’histoire, et nous devons résister à ce mouvement ».
« Notre pays doit tenir. Il doit défendre sa civilisation, rappeler ses principes, ne faire aucune concession à ceux qui lui demandent de s’oublier, de se dissoudre, de se diluer dans le grand déménagement mondial ».
Bruno Gollnisch l’a souvent relevé, cette fermeté et cette volonté de défendre ce que nous sommes est bien rare au sein du Système. C’est pourtant par la réaffirmation des valeurs qui ont fait la force, le génie, et la grandeur de notre civilisation helléno-chrétienne, que nous gagnerions le respect des populations allogènes ; valeurs qui si elles étaient portées fièrement, seraient même un facteur d’assimilation. Mais valeurs piétinées allègrement le plus souvent par les autoproclamés défenseurs cosmopolites de la laïcité, d’une république bien peu romaine, mais progressiste, décadente, affaissée, sans âme…
La présence de fortes communautés étrangères sur notre sol, qui ne veulent ou ne peuvent s’assimiler, est bien évidemment un sujet d’inquiétude majeur pour l’avenir de nos enfants, la sauvegarde de notre identité et souverainetés nationales.
Jean Raspail le rappelait dans un entretien accordé à Valeurs Actuelles en octobre 2013, nous sommes confrontés au «problème fondamental : l’envahissement progressif de la France et de l’Europe par un tiers-monde innombrable ». «Le peuple sait déjà toutes ces choses, intuitivement : que la France, telle que nos ancêtres l’ont façonnée depuis des siècles, est en train de disparaître. Et qu’on amuse la galerie en parlant sans cesse de l’immigration sans jamais dire la vérité finale (…). Le peuple sait qu’on lui cache les choses. Aujourd’hui, des dizaines de millions de gens ne partagent pas le discours officiel sur l’immigration. Ils ne croient aucunement que ce soit une chance pour la France. Parce que le réel s’impose à eux, quotidiennement (…)».
Et l’auteur du Camp des saints d’en appeler au sursaut salvateur : « que l’on cesse de sacraliser l’Autre et que l’on redécouvre que le prochain, c’est d’abord celui qui est à côté de soi. Ce qui suppose que l’on s’assoit quelque temps sur ces idées chrétiennes devenues folles, comme disait Chesterton, sur ces droits de l’homme dévoyés, et que l’on prenne les mesures d’éloignement collectif et sans appel indispensables pour éviter la dissolution du pays dans un métissage général ».
Si les Français ont en effet pris pleinement conscience du tsunami migratoire, il faut désormais qu’ils en tirent urgemment la conclusion dans les urnes. Avant qu’il ne soit trop tard. 2017 c’est demain et « l’Histoire ne repasse pas les plats ».
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