Bruno Gollnisch donnait une conférence de presse mardi 2 octobre 2018 au Parlement européen sur la persécution orchestrée par son administration et dont sont victimes les députés de la minorité.
Commentaires
Rétroliens
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[…] Les gros médias, c’est le moins que l’on puisse dire, n’ont pas beaucoup fait état de la rencontre qui s’est déroulée hier entre Marine Le Pen et Matteo Salvini à Rome. La présidente du RN répondait à l’invitation de l’Union générale du travail (UGT), syndicat (à ne pas confondre avec son homonyme espagnol) proche de la Ligue, pour intervenir sur le thème de « la croissance économique et les perspectives sociales dans une Europe des nations. » Une réunion qui fut donc boudée par la grosse presse française -couverte en revanche de manière très exhaustive par RT– mais pourtant hautement symbolique en ce qu’elle permettait de lier, sous l’égide d’un syndicat très en pointe dans la défense des intérêts des travailleurs, questions économico-sociales et problèmes migratoires. Elle matérialise, à quelques mois des élections européennes dont Marine a rappelé le caractère décisif, la lutte des nationaux, des populistes/souverainistes contre une idéologie mondialiste qui est le ciment de cette Europe technocratique. UE dont des dérives totalitaires s’accélèrent. On le constate notamment avec les persécutions qui ne se démentent pas contre les eurosceptiques, discriminations dénoncées de nouveau par Bruno Gollnisch dans l’affaire dite des assistants parlementaires lors de sa conférence de presse du 2 octobre. […]
MARTIN DESMARETZ de MAILLEBOIS dit
BRAVO pour la dénonciation du déshonneur du parlement !!! Bien d’accord ! C’est un plaisir de déguster ce que vous dites pour dénoncer toutes les tares graves du Sec du PE et de la Commission. Quel malheur que ces dérives de cette Institution qui se voulait si ambitieuse et qui est déjà morte pour moi. En tout cas bravo pour votre excellente résistance.
voltarousse dit
Ce parlement que l’on qualifie généralement de chambre d’enregistrement des décisions technocratiques prises à Bruxelles n’est semble t’il qu’un « Machin » pour employer le terme d’un certain Général et qui coute un « pognon dingue » pour employer le terme d’un dirigeant, qui lui, n’est pas Général .