Le blog de Bruno Gollnisch

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Violences faites aux femmes : à qui la faute ?

23 novembre 2012 5 commentaires

L’affaire du multirécidiviste Kamel Bousselat, déjà treize fois condamné, notamment pour  des faits de violence et d’agression sexuelle, kidnappeur de Chloé, 15 ans, et finalement  arrêté  en Allemagne, a soulevé beaucoup d’émotion. Ce fut aussi le cas en  en octobre, avec le procès des tournantes de Fontenay-sous-Bois, dont un des protagonistes, Mahmadou Doucouré, accusé de viols sur Nina et Aurélie, a été également jugé depuis pour  le meurtre avec préméditation de son ancienne compagne. Des « faits divers » qui confirment, s’il en était besoin, que dans l’Age sombre que nous traversons, les personnes les plus fragiles, et notamment les femmes, sont les premières victimes des barbares.  

Après « Le Manifeste des 343 salopes » en 1971,  dans lequel 343 femmes parlaient de leur avortement, l’IVG n’ayant   pas  encore été  légalisée en France, Le Nouvel Obs estime poursuivre sa mission émancipatrice en publiant cette semaine, sous l’égide de la militante d’extrême gauche Clémentine Autain,  un Manifeste pour briser les tabous du viol.

« Je déclare avoir été violée », tel est  le nom de la campagne lancée à la manière d’une pétition –signée pour l’instant par 313 femmes–  par ce magazine  pour aider les femmes victimes de violences sexuelles à sortir de leur silence. Selon les  termes mêmes de cette  campagne,   une femme sur 10 aurait été ou sera victime d’un viol. Une affirmation dont le chiffrage ne fait pas l’unanimité.

Nous pouvons déjà  contester le  caractère judicieux du  parallèle opéré par le Nouvel, Obs   entre cette lutte contre le viol et la promotion de l’IVG, qui est aussi une « violence faite aux femmes »,  psychique et physique, une « atteinte odieuse à l’intégrité d’êtres humains ».

Une loi Veil rappelons-le,  qui s’est avérée totalement incapable au fil des ans, de réduire le nombre d’avortement (environ 200 000 par an depuis 1975), ce qui était à l’origine l’objectif annoncé.

Au moment de la discussion autour de la notion de « viol conjugal », Bruno Gollnisch avait publié sur son blog un billet d’humeur pointant  les arrière-pensées idéologiques à l’œuvre, « les modes intellectuelles et (im)morales ».  

« Haro sur le mâle  surtout s’il est occidental, et, pire encore, tenant de quelque élément de tradition politique, patriotique ou religieuse ! (…) Quiconque ne va pas dans le sens de ce courant dominant s’expose, comme votre serviteur, à se voir coller les pires étiquettes : hétérosexuel, macho, et même : réactionnaire ! Nous ne sommes pas nombreux à affronter fièrement de tels opprobres ! »

« L’action des lobbies féministes notait-il encore, constitue l’un de ces courants contre lequel il est téméraire de s’inscrire. Un courant pour lequel est bon tout ce qui concourt à discréditer l’image de ce que Mme Lauvergeon, présidente d’AREVA, appelait le mâle blanc. »

Un violeur est animé d’une irrépressible  pulsion de prédation qui relève soit d’un dérangement d’ordre mental, soit, « plus banalement »,  d’un effacement des repères moraux les plus élémentaires, la femme étant considérée comme un simple objet de plaisir, de consommation. Cette perte de repères est largement due à l’écroulement d’un  ordre ancien auquel les amis politiques de Mme Autain et consorts  ont beaucoup travaillé.

Cette image dégradée de la femme est aujourd’hui  véhiculée par l’explosion de la pornographie, les clips de rap inspirés du gangsta rap des ghettos américains et même pour une large part,  par la publicité que l’on retrouve… dans les magazines féminin(istes).

Le choc des cultures engendré  par « les joies » de l’immigration planétaire,  le multiculturalisme de nos sociétés, encouragé lui aussi par tou(te)s les progressistes, n’est pas non plus sans conséquence sur la sécurité des femme; même si bien  entendu les violeurs ou les auteurs de violences se retrouvent dans toutes les couches sociales, tous les groupes ethniques et/ou religieux.

L’affaire des viols commis par des bandes d’immigrés pakistanais contre des anglaises de souche, notamment dans la ville  de Rochdale,  continue de défrayer  la chronique  en Grande-Bretagne.

Les victimes étaient le plus souvent de très jeunes adolescentes, avec des parents démissionnaires qui les  laissaient  sortir seules la nuit,  issues de familles pauvres, recomposées, décrites souvent comme « fragiles » … Dans  un article publié sur son site le 19 novembre- « L’affaire de Rochdale et son équation  raciale »-, Le Monde, sous la plume de Benoît Vitkine,  expose assez crûment la réalité.

« Lors du procès, qui se tient en mai 2012 à Liverpool, cinq victimes témoignent, sur les 47 identifiées par la police. L’une raconte avoir été violée par vingt hommes la même nuit. Une autre décrit une soirée passée à vomir sur un canapé pendant que deux hommes abusent d’elle. »

« Une autre raconte encore, 13 ans au moment des faits, que les viols ne cessèrent que lorsqu’elle tomba enceinte d’Adil Khan, 42 ans. Neuf hommes sont condamnés, pour les faits de viol, agressions sexuelles ou conspiration commis entre 2007 et 2009, à des peines allant de quatre à dix-neuf ans de prison pour Shabir Ahmed, considéré comme le chef du groupe. »

Pendant le  procès un accusé dira : «  Vous, les Blancs, vous entraînez vos filles à boire et à faire du sexe. Quand elles nous arrivent, elles sont parfaitement entraînées. »

« A l’exception d’un demandeur d’asile afghan, tous sont d’origine pakistanaise. Toutes les filles sont blanches. L’équation est aussi froide et simple qu’explosive, dans un Royaume-Uni en proie au doute sur son modèle multiculturel ».

« Dans les semaines suivant le procès rappelle Benoit Vitkine, les médias égrènent les noms de villes où des gangs similaires à celui de Rochdale sont démantelés : Nelson, Oxford, Telford, High Wycombe… Et, fin octobre, c’est à nouveau à Rochdale qu’un groupe de neuf hommes est appréhendé. Chaque fois, les violeurs sont en grande majorité d’origine pakistanaise. »

« Les micros se tendent vers les associations ou les chercheurs spécialisés dans la lutte contre les abus sexuels. Selon leurs conclusions, entre 46 % et 83 % des hommes impliqués dans ce type précis d’affaires – des viols commis en bande par des hommes qui amadouent leurs jeunes victimes en milieu ouvert – sont d’origine pakistanaise (les statistiques ethniques sont autorisées en Grande-Bretagne). »

Cet article relate aussi les conséquences   de la peur des  « blancs », des  acteurs du Système d’être pris à partie par le lobby immigrationniste: « entre 2004 et 2010, 127 alertes ont été émises sur des cas d’abus sexuels sur mineurs, bon nombre concernant le groupe de Shabir Ahmed, sans qu’aucune mesure soit prise. A plusieurs reprises, les deux institutions ont estimé que des jeunes filles âgées de 12 à 17 ans faisaient leurs propres choix de vie. »

En effet, « pour Ann Cryer, ancienne députée de Keighley, une circonscription voisine, aucun doute n’est permis : police et services sociaux étaient pétrifiés à l’idée d’être accusés de racisme. Le ministre de la famille de l’époque, Tim Loughton, reconnaît que le politiquement correct et les susceptibilités raciales ont constitué un problème (…). »

« Un employé de la mairie s’interroge. Anonymement. Où est la limite du racisme ? Les agresseurs voyaient ces filles comme du « déchet blanc », c’est indéniablement raciste. Mais les services sociaux, des gens bien blancs, ne les ont pas mieux considérées. »

« A quelques rues de là, dans sa permanence, Simon Danczuk, député travailliste de Rochdale qui a été l’un des premiers à parler publiquement d’un facteur racial, juge tout aussi déterminant ce qu’il appelle le facteur social: Les responsables des services sociaux ont pu imaginer que ces filles de même pas 15 ans se prostituaient, alors qu’ils en auraient été incapables à propos de leurs propres enfants… »

En réalité relève Bruno Gollnisch, Outre-manche comme en France,  qui sont les plus coupables? ses immigrés  là, victimes eux aussi à leur manière du traumatisme du déracinement, de la confrontation brutale avec notre «modèle » de société, de  l’effacement des repères dans lesquels ils ont  été élevés, (devenus ?) plein de haines et de mépris pour nos sociétés occidentales ? Ou un Système décadent, souvent amoral,  qui  favorise cette babélisation, les drames et les violences qu’elle engendre mécaniquement ? Le Front National a répondu depuis longtemps à cette question.

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Classé sous :Actualités Balisé avec :Adil Khan, Ann Cryer, Benoît Vitkine, Bruno Gollnisch, Clémentine Autain, Fontenay-sous-Bois, Grande-Bretagne, High Wycombe, IVG, Kamel Bousselat, Keighley, Le Manifeste des 343 salopes, loi Veil, Mahmadou Doucouré, Manifeste Je déclare avoir été violée, Nelson, Oxford, Rochdale, Shabir Ahmed, Simon Danczuk, Telford, Tim Loughton, tournantes, Viol

Commentaires

  1. Pierre dit

    25 novembre 2012 à 2 h 08 min

    Merci M. Gollnisch de nous avoir parlé de Rochdale ! …que je n’ai pas trouvé dans d’autres journaux (je n’en suis guère étonné…)
    « Vous, les Blancs, vous entraînez vos filles à boire et à faire du sexe. Quand elles nous arrivent, elles sont parfaitement entraînées. » La citation vaut le plaisir de venir une fois de plus sur votre blog !
    Pour le binge drinking, on savait déjà en Angleterre comme en France. Pour le c.., je confirme avec cette enquête de l’Ifop commandée par Marc Dorcel pour le lancement de Dorcelle.com, son site spécial pour les femmes. http://www.ifop.com/media/poll/2057-1-annexe_file.pdf. Je remercierai au passage, si vous me le permettez, MM. Mitterrand et Rousselet d’avoir avec Canal + suscité des vocations « d’acteur » chez des millions de français même dès le collège depuis 1984 avec malheureusement pas mal de déboires pour beaucoup d’entre eux ! Cette industrie est loin de connaître la crise actuelle !

    Répondre
  2. Nilaja Zayi dit

    18 avril 2013 à 18 h 56 min

    SVP, partagez le lien de ce Flash Mob fait à Bruxelles pour dénoncer les viols à l’Est du Congo?
    http://www.youtube.com/watch?v=X9loO2eT0II&feature=youtu.be

    Répondre

Rétroliens

  1. L'islam(isme) cause de tous nos maux...vraiment? • Le blog de Bruno Gollnisch dit :
    21 mars 2018 à 12 h 12 min

    […] Une idéologie antiraciste qui, au nom de sa logique victimaire  faisant  du mâle blanc l’archétype du salaud et de l’étranger forcément une victime, un damné de la terre intouchable, est responsable  de bien des tragédies. Nous en avons vu les dégâts à travers la très emblématique  affaire des milliers  de viols commis en Angleterre par des gangs d’ immigrés principalement originaires du sous-continent indien, sur des adolescentes britanniques dans les communes de High Wycombe,   Nelson, Oxford, Rochdale, Telford.  Crimes révélés il y a plus de six ans en France par le site fdesouche  et dont nous nous étions fait l’écho en novembre 2012 sur ce blogue. […]

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