La loi prévue sur le mariage et l’adoption par les couples homosexuels vise à satisfaire les exigences d’une très petite minorité. Au-delà, elle est aussi motivée par de sombres impératifs idéologiques. Impératifs, démagogiques ceux-là, qui ont aussi présidé au vote de la taxation à 75 % des plus hauts revenus, un taux que l’on ne retrouve dans aucun pays de l’OCDE nous l’avions souligné, et qui vient d’être censuré par le Conseil constitutionnel. Ladite mesure ne concernait que 2000 foyers fiscaux et ses effets négatifs auraient été à l’évidence plus importants que ses côtés positifs. Pour le reste, ce sont les Français bien plus modestes qui continueront à payer la facture.
Dans ce contexte peu réjouissant, il y a des sondages qui, même un peu anecdotiques, sont toujours amusants à lire. Ainsi celui publié mercredi dernier (une étude Harris Interactive), par le magazine VSD en cette période de fêtes sur « les personnalités qui agacent le plus les Français ».
Bien sûr on peut toujours contester les choix (orientés) qui président à l’élaboration de la liste soumise aux sondés, comme celle présentée dans le tout dernier baromètre bi-annuel Ifop pour le Journal du Dimanche sur «les personnalités préférées des Français ». Nous y trouvons aussi beaucoup de mauvais tocards médiatiques interchangeables avec le sondage précédent.
Mais avouons que si nous avions été interrogés, nous aurions nous aussi certainement placé en tête… les têtes de gondoles qui sont les plus citées ici : Jean-François Copé, Franck Ribéry, Diam’s, Bernard Henry-Lévy ou encore Audrey Pulvar…Si les réponses des Français font sauter le fameux clivage droite-gauche en mettant au rayon des « insupportables » aussi bien Mme Royal que Mme Morano, celui-ci garde apparemment tout son sens sur les questions dites « sociétales ». Le cas emblématique étant bien évidemment le projet de loi en faveur du « mariage pour tous. »
Le Point s’en faisait l’écho le 19 décembre relayant une dépêche de l’AFP : « Si l’opposition à ce projet du gouvernement socialiste fait l’unanimité au sein du (FN, NDLR), la forme que doit prendre la mobilisation est plus discutée en interne ». « Entre des cadres qui penchent pour un soutien actif et d’autres beaucoup plus prudents, le Front National – et Marine Le Pen en tête – est partagé face à la prochaine manifestation d’ampleur contre le mariage homosexuel, le 13 janvier, alors que l’UMP promet d’être dans la rue ( …) »
« La mobilisation du 13 janvier, baptisée La Manif’ pour tous, s’annonce encore plus forte et le président de l’UMP Jean-François Copé a d’ores et déjà demandé aux militants et sympathisants de son parti d’être des acteurs-clés pour son succès. Du coup, le FN est placé devant un dilemme. »
Dilemme n’est peut être pas le mot exact puisque le FN sera bien présent à cette manifestation : Bruno Gollnisch, Jean-Marie Le Pen, Marie-Christine Arnautu, Louis Aliot sont favorables à une participation du FN à ce rassemblement et de très nombreux militants cadres, élus, membres du Bureau politique ont d’ores et déjà prévu de se rendre à cette manifestation.
Bruno Gollnisch peut en témoigner, les frontistes lui ont posé de très nombreuses questions sur la nécessité de la présence du FN lors des manifestations passées et à venir contre le mariage homo, lors de ses récents déplacements dans les fédérations FN et encore dernièrement lors de son passage à Versailles le 21 décembre. Ce sujet sera évoqué lors du prochain Bureau Politique du FN, le 7 janvier.
Il est en effet totalement légitime pour les dirigeants du FN de réfléchir à l’attitude tactique, stratégique qui doit être celle de l’opposition nationale sur ce dossier. En l’espèce Le Point et l’AFP, citent Marine Le Pen qui explique qu’ « il est hors de question d’apparaître comme des supplétifs de M. Copé ». « Si (elle va manifester ), (ce qu’elle n’a) pas encore décidé), (elle le fera) pour dire attention, il y a d’autres sujets qui sont des sujets bien plus importants que cela »
Pour Marine poursuit cet article, « ce débat de société renforce le clivage gauche-droite, qu’elle juge d’une part artificiel et qui lui laisse d’autre part moins d’espace politique. Difficile, en effet, de renvoyer UMP et PS dos-à-dos sur le mariage homosexuel. » Pourtant Le Point cite aussi à bon escient la présidente du FN qui souligne que l’UMP « cherche à se faire une virginité sur la défense de valeurs qu’ils ont totalement abandonnées depuis les 30 années où ils sont au pouvoir ».
Florian Philippot, vice-président en charge de la stratégie et de la communication, est-il encore rapporté, « voit dans ce débat sur le mariage gay un sujet de diversion pour masquer les échecs sociaux de l’exécutif. » « Notre position est connue. Il n’y a pas un Français qui pense que Marine Le Pen est pour le mariage homo. Et les gens ne nous parlent pas de ça, parce que leur problème, c’est d’arriver à boucler leurs fins de mois ».
C’est en effet une préoccupation première des Français qui hiérarchisent leurs inquiétudes, citent pareillement dans les enquêtes d’opinion depuis 20 ans les difficultés économiques et sociales en tête de leur souci, devant les causes et conséquences, directes ou indirectes de celles-ci : l’insécurité, l’immigration, le multiculturalisme, l’euro, nos abandons de souveraineté à l’Europe de Bruxelles…
Les sondages semblent démontrer aussi une césure assez nette entre le peuple de droite et le peuple de gauche sur cette question, ce dernier étant assez, voire très largement favorable au mariage homo -mais beaucoup moins à l’adoption qui y est pourtant pleinement associée.
Implicitement, le politologue proche de l’UMP (et adversaire résolu du FN) Dominique Reynié « conseille » au FN de faire profil bas sur cette question de la défense des valeurs. Dans Le Monde en date du 25 décembre, interrogé sur l’attitude qui devrait être celle de l’UMP pour contenir le FN, il note que s’il est « indéniable » que « la société française se droitise, » « il est (donc) inutile (pour l’UMP, NDLR) d’en rajouter », « surjouer la proximité avec le FN est donc une erreur. »
Mais le FN juge-t-il encore « est un parti qui aspire toutes les protestations. Désormais, sa zone de croissance est dans l’électorat populaire déçu par le hollandisme. Les transferts dans l’électorat de droite ont déjà eu lieu entre 2007 et 2012. Il n’y a plus de flux massif à attendre de ce côté-là de l’échiquier politique. »
De là à penser que le FN doit mettre l’éteignoir sur son programme de défense des valeurs de notre civilisation il y a tout de même un pas que Bruno Gollnisch se refuse de franchir ! L’électeur qui a voté hier Hollande, aujourd’hui malmené, maltraité par la politique mondialiste du PS et ses conséquences économique, sociale, identitaire sur son quotidien, et qui se décidera en 2014 à voter FN, ne sera pas arrêté dans son geste parce que l’opposition nationale a pris activement fait et cause pour la défense du mariage et de la famille…
Jean de Rouen dans l’article qu’il a publié sur le site Nouvelles de France demande lui au FN de faire de la « la défense de la cellule familiale » toujours une de ses priorités et assure que les « questions sociétales » ne sont pas secondaires. « A moins de réduire l’homme à n’être qu’un producteur ou un consommateur, l’économie n’est pas première : elle doit rester subordonnée au politique. L’homme en effet ne vit pas que de pain. Quant à la question sociale, qui peut ignorer qu’elle est aussi relative à la politique familiale et aux problématiques de l’éducation et de la démographie ? »
Dans son Message de Noël, Bruno Gollnisch a rappelé que cette question du mariage était tout sauf anecdotique et que ce n’est pas un hasard si les mêmes « forces obscures du mondialisme » étaient à la manœuvre pour détruire les nations et les familles, cellules de base de la société.
Enfin Bruno rappelle solennellement, notamment à tous les férus de sondage, que la défense des valeurs traditionnelles est une des causes principales, structurante, du vote en faveur Front National comme l’on démontré des dizaines d’enquêtes d’opinion depuis son émergence électorale.
Au nombre de celles-ci, l’enquête TNS Sofres de décembre 2006 indiquait que la « défense des valeurs traditionnelles » par le FN et Jean-Marie Le Pen était l’aspect thématique le plus approuvé par les Français, avec 39 % d’avis favorables (53 % d’avis contraires). Une enquête d’opinion publiée peu avant le premier tour de la présidentielle de 2002 dans Le Monde établissait le même constat.
En février 2010, ce même institut de sondage publiait les résultats de son enquête dans le cadre du « grand débat sur l’identité nationale ». Il était relevé qu’au sein des 65% de Français qui considèrent que l’identité française a tendance à «s’affaiblir», les raisons principales dudit affaiblissement citées en premier étaient « la perte des valeurs » (29%), devant « l’immigration » (25%) et « la diversité culturelle et ethnique » (18%) ce qui certes revient peu ou prou au même.
Enfin, un sondage opinion way paru en mars 2011 indiquait qu’en tête des appréciations élogieuses, 38% des personnes interrogées considéraient Marine Le Pen comme la candidate « d’une droite patriote attachée aux valeurs traditionnelles. »
Valeurs traditionnelles vilipendées, brocardées, attaquées systématiquement par les faiseurs d’opinion, les publicitaires et autres acteurs de la société du spectacle et du divertissement, chargés eux aussi d’occuper « le temps de cerveau disponible » de nos compatriotes, et de faire passer les « messages de tolérance. » Une guerre de sape psychologique qui ne touche pas que notre pays confronté à des attaques mûrement réfléchies et conçues de longue date -/?s=solve+et+coagula.
Comme le réaffirme Bruno Gollnisch, « aucune modernité n’est viable si elle ne s’enracine dans une tradition. La défense de la vie, la transmission de notre patrimoine culturel, la remise à l’honneur des valeurs traditionnelles et de droit naturel – ce n’est pas ringard, c’est moderne, de défendre les valeurs traditionnelles ! ». Il les défendra donc de nouveau le 13 janvier dans la rue.
Bruno dit
Oui, c’est tout à fait vrai, c’est bien pour défendre les valeurs traditionnelles que je me suis décidé à voter Le Pen. Mais si des années durant je n’ai pas voté, c’est aussi que je n’avais pas compris la position du FN. Les valeurs traditionnelles, elles sont nombreuses et paradoxalement, leur cohésion n’a rien d’évidente dans le contexte actuel.
Surtout, avec la crise, mon opinion sur l’Europe a changée. Pendant quel les trusts financiers et industriels prospèrent, les petites entreprises font faillite. Les premiers ont non seulement pu s’affranchir du contrôle des gouvernements, ils ont en plus récupéré les bénéfices des dénationalisations. Les seconds ne sont plus concurrentiels, les banques leur imposent donc des conditions inadmissibles. J’en deviendrai même poujadiste….
Mais pas seulement. Pendant des années, le discours du FN s’est limité, médiatiquement du moins, à l’immigration. Pour la gauche, l’immigration était un bien fait démographique. Pour la droite, elle n’était pas maîtrisée et conduisait finalement au désordre. Certes, mais les dirigeants du FN n’avaient pas la parole. Maîtriser l’immigration, c’est plus facile à dire qu’à faire. Puis la crise et l’affaiblissement de l’Euro, les guerres menées au moyen orient et la propagande hypocritement humaniste de l’UMPS, les débats de société supposés résoudre les questions de civisme et de laïcité, les présidentielles… Et l’arrivée de Marine à la tête du parti, c’était du pain béni pour les magazines people. Tous ces facteurs ont permis aux nouveaux dirigeants du FN de s’exprimer plus librement que leur prédécesseurs ne le pouvaient. De même, il n’est plus politiquement correct d’insulter les électeurs du FN.
Car à quoi bon voter si il n’est pas possible de débattre de ses opinions en famille ?
Assurément, à ce jeu là, on devient un vieux con. Le sujet est d’autant plus délicat qu’on en vient justement à parler des valeurs de la France, de ses valeurs traditionnelles. Après la guerre, la République a voulu prendre un tournant : « Plus jamais ça. » En soi ce n’était pas une mauvaise chose. Et pourtant, plus grand monde ne se sent aujourd’hui en sécurité, en France. Les valeurs de droite forgent l’autorité des gouvernements industriels, ceux qui ont entraîné l’Europe à sa perte. Les valeurs de gauche celle du peuple libérateur. Non pas le désordre, mais le nouvel ordre mondial. C’est la légende…
En d’ailleurs si le mythe persiste, c’est parce que le terrain était favorable. Après la révolution française, c’est le clergé qu’on a accusé de tout le sang versé. Le clergé a survécu et généralement, il prêche toujours à droite. Le refus des valeurs morales établies ne date donc pas d’hier. Nous voulons toujours plus de démocratie, c’est la participation de tous qui doit sauver le monde. L’avis du patriarche éclairé ne vaut guerre mieux aujourd’hui que celui de Steevy. Ainsi, ça ne fait plus de l’homme instruit un être supérieur mais ça à le mérite de placer en haut de l’échelle sociale un autre qui ne l’est pas du tout.
En effet, c’est bien le rapport à l’autorité qui change avant tout autre chose dans nos valeurs entre tradition et modernité. Les citoyens sont livrés à eux même, ils refusent toute autorité morale et ne se fient plus qu’à leur bons sentiments. Libres, égaux, fraternels, nous voulons tous croire que nous le sommes de naissance, comme si nous étions bien nés. Il ne s’agit plus de le devenir mais de le rester. Réactionnaires sont les empêcheurs de tourner en rond !
Avec la crise économique, la peur de l’esclavage et du servage revient au galop. Pour beaucoup, il devient urgent de revendiquer les dernières libertés qui ne seraient pas encore inscrites dans la constitution. Enfin, surtout la liberté sexuelle… C’est cela, naturellement, qui préoccupe le plus la jeunesse. Et puis pour les autres, être productif, finalement, peu importe que ce soit pour son pays ou bien pour quelques privilégiés apatrides, c’est sur la fiche de paye qu’on fait ses comptes. En dernière instance, pour le citoyen moderne, toutes les cultures se valent et seule l’autorité des dirigeants politiques est responsable de la corruption, des brimades et des frustrations.
Pour voter FN, quand on ne l’a jamais fait, je crois qu’il faut d’abord avoir compris cela, ne plus adhérer à cette croyance populaire irrationnelle. Voter FN est devenu le moyen de renouer avec la politique et le pouvoir. Et si beaucoup d’anciens gauchistes ont basculé à l’extrême droite, la raison est toute simple. Il y a une valeur dont pouvait se prévaloir la gauche, tant qu’elle n’avait pas eu accès au pouvoir. Et cette valeur est entrain de devenir celle du FN. Il s’agit de l’intégrité.
D’autant diront que le FN refuse de gouverner. Mais cela ne trompe plus personne. Le franc parler, la dignité ne serait-ce déjà que dans l’attitude, ce n’est pas plus compliqué que de corriger une poignée de main un peu trop mole. Si c’est ça l’extrémisme, allons y sans crainte !
Il est évident que le programme du FN est avant tout un support au débat. Il ouvre des perspectives. Il ne se contente pas de promettre ce qui,de toute façon, adviendra. Le sens de l’histoire, on peut tous plus ou moins prétendre le deviner, du moment qu’on mesure la portée de nos choix passés. C’est sur le sens de la vie qu’il y a matière à réflexion et sur le rapport qui existe entre la vie et le progrès. C’est cela qui doit guider nos choix futurs.
Ainsi, pour le gauchiste le sens de la vie, c’est le progrès, à condition qu’il le libère de ses entraves, qu’il l’émancipe. Il peut s’agir de progrès médical. Ainsi, si il est maintenant possible de faire des enfants en dehors du cadre de la famille traditionnelle, c’est à la famille de s’adapter. Par contre, si il s’agit de progrès en matière de physique nucléaire, on imagine tout de suite le pire, la mort et la guerre. Et le citoyen aurait alors le droit de refuser à d’autres ce progrès là, peu importe ce qu’on a pu investir. Il y a le bon et le mauvais progrès, l’homme sait faire son choix.
A droite on est plus sceptique. Le progrès scientifique ne donne pas, seul, un sens à la vie, sous prétexte de la rendre plus facile. C’est beaucoup moins simpliste, l’homme doit se parfaire avant de pouvoir assumer ses choix. Le progrès est un édifie culturel fragile, d’autant plus qu’il modifie les conditions de la vie. Préserver les conditions de la vie est le seul moyen de garantir la solidité de l’édifice. Et ce n’est pas si facile. Si le progrès met à mal la structure familiale, comme cela ne garanti plus de façon pérenne l’équilibre social et psychologique des enfants, dans ce cadre il faut le refuser. On ne peut pas contraindre les homosexuels à se comporter comme les hétérosexuels, leur donner les mêmes droits n’a pas de sens. Par contre, c’est le contrôle exercé par les nations qui garanti l’utilisation des énergies nucléaires pour la paix plutôt que pour la guerre. Que toutes adoptent la même conduite, c’est possible, il y a les institutions pour. Et au gouvernement d’assumer ses responsabilités en matière d’écologie, pas au consommateur final. On encadre alors, on ne refuse pas. A droite, le progrès, c’est autant de responsabilités. Il y à un coût inévitable.
Alors, quand François Hollande dit qu’il va assumer ses responsabilités et appliquer son programme, le pire est à craindre. C’est surtout des responsabilités qu’il ne veut pas prendre. Donner des responsabilités parentales au couples homos, ce n’est tout de même pas la fin du monde et ça ne coûte pas cher. Si ça s’avère être une erreur un de ces quatre matins, c’est aux homosexuels qu’on en fera le reproche. Par contre, nucléaire et fin du monde… On ne lui pardonnerait jamais. Surtout, il vaut mieux s’en laver les mains.
Enfin j’ai pris deux exemples parmi d’autres, mais tout le monde déplore le vrai manque de directive, au gouvernement. Les français payent autant qu’ils peuvent payer, mais plus que tout, ils se demandent encore pourquoi ? Pour quelle rentabilité ? Si certaines minorités d’agitateurs arrivent en fait à imposer à la majorité, par nature prudente et consensuelle, des conditions absurdes, c’est bien que le pouvoir est vacant, à moins qu’il ne soit tyrannique… Alors puisque le pouvoir est au peuple, c’est effectivement dans la rue que les français régleront ça. Une fois n’est pas coutume… De toute façon, quand la France sera au bord de la guerre civile, c’est sûr, tout le monde ira voter Le Pen. Il n’y aura pas d’autre alternative pour rétablir l’ordre. Monsieur Valls regrettera vite ses zones prioritaires. Il n’arrivera pas à y circonscrire le désordre.
Sur ce, je vous souhaite une bonne nuit de la Saint Sylvestre, camarade Gollnisch. Et bonne année, dans la mesure du possible…
Ghislain dit
Cher Monsieur Gollnisch,
Vous êtes la fierté du Front National et un des rares à prendre position en disant pourquoi vous manifesterez le 13 janvier à Paris.
Electeur du Front National depuis très longtemps je suis déçu, pour ne pas dire plus, par la position « officielle » du Front National qui dans le contexte actuel est « minable » pour reprendre une expression à la mode !
Nous n’allons quand même pas laisser la rue sur ce sujet uniquement à l’UMP et à J-F. Copé !
Merci pour votre position qui vous honore comme d’habitude.
Jacques dit
Très déçu par la position prise hier par le Front National qui se trompe de combat ne voulant être assocé ni aux catholiques, ni à l’UMP…
Bravo cher Bruno Gollnisch de représenter à vous seul nos idées
Je serai présent le 13 janvier à Paris : ce projet de loi est immonde !
Modérateur dit
Merci de votre soutien Jacques, une précision cependant:Les électeurs, sympathisants, adhérents, militants , cadres et élus du Mouvement national qui manifesteront le 13 janvier aux côtés de Bruno auront le plein et entier soutien de Marine comme cela a été confirmé dans un communiqué publié vendredi 4 janvier. Bien cordialement. gollnisch.com